Translations for first time in French
Here are paragraphs from public domain books translated:
“A young gentleman, who cried the first time he came here; an old pal of hers, I suppose, for they say she was a gay one. Very pretty, too, I believe. Did you know her, sir?” “Yes.” | —Un jeune homme qui a bien pleuré, la première fois qu'il est venu; un ancien à la morte, sans doute, car il paraît que c'était une gaillarde, celle-là. On dit qu'elle était très jolie. Monsieur l'a-t-il connue? —Oui. |
The Lady with the Camellias, by Alexandre Dumas son | La Dame aux Camélias, de Alexandre Dumas fils |
“It is true,” she went on; “you know I have the bad habit of trying to embarrass people the first time I meet them. It is very stupid. My doctor says it is because I am nervous and always ill; believe my doctor.” | —C'est vrai, reprit-elle. Figurez-vous que j'ai la mauvaise habitude de vouloir embarrasser les gens que je vois pour la première fois. C'est très sot. Mon médecin dit que c'est parce que je suis nerveuse et toujours souffrante: croyez mon médecin. |
The Lady with the Camellias, by Alexandre Dumas son | La Dame aux Camélias, de Alexandre Dumas fils |
But, on the other hand, how was I to reconcile this reputation with her constant refusal of the young count whom we had found at her house? You may say that he was unattractive to her, and that, as she was splendidly kept by the duke, she would be more likely to choose a man who was attractive to her, if she were to take another lover. If so, why did she not choose Gaston, who was rich, witty, and charming, and why did she care for me, whom she had thought so ridiculous the first time she had seen me? | Mais comment aussi, d'un autre côté, concilier cette réputation avec les refus continuels faits au jeune comte que nous avions trouvé chez elle? Vous me direz qu'il lui déplaisait et que, comme elle était splendidement entretenue par le duc, pour faire tant que de prendre un autre amant, elle aimait mieux un homme qui lui plût. Alors, pourquoi ne voulait-elle pas de Gaston, charmant, spirituel, riche, et paraissait-elle vouloir de moi qu'elle avait trouvé si ridicule la première fois qu'elle m'avait vu? |
The Lady with the Camellias, by Alexandre Dumas son | La Dame aux Camélias, de Alexandre Dumas fils |
"But you have never told me that you did not love me; and truly, to speak such words to me would be, on the part of your Majesty, too great an ingratitude. For tell me, where can you find a love like mine--a love which neither time, nor absence, nor despair can extinguish, a love which contents itself with a lost ribbon, a stray look, or a chance word? It is now three years, madame, since I saw you for the first time, and during those three years I have loved you thus. Shall I tell you each ornament of your toilet? Mark! I see you now. You were seated upon cushions in the Spanish fashion; you wore a robe of green satin embroidered with gold and silver, hanging sleeves knotted upon your beautiful arms--those lovely arms--with large diamonds. You wore a close ruff, a small cap upon your head of the same color as your robe, and in that cap a heron's feather. Hold! Hold! I shut my eyes, and I can see you as you then were; I open them again, and I see what you are now--a hundred time more beautiful!" | — Mais vous ne m’avez jamais dit non plus que vous ne m’aimiez point, et vraiment me dire de semblables paroles, ce serait de la part de Votre Majesté une trop grande ingratitude. Car, dites-moi, où trouveriez-vous un amour pareil au mien, un amour que ni le temps, ni l’absence, ni le désespoir ne peuvent éteindre ; un amour qui se contente d’un ruban égaré, d’un regard perdu, d’une parole échappée ? Il y a trois ans, madame, que je vous ai vue pour la première fois, et depuis trois ans je vous aime ainsi. Voulez-vous que je vous dise comment vous étiez vêtue la première fois que je vous vis ? voulez-vous que je détaille chacun des ornements de votre toilette ? Tenez, je vous vois encore : vous étiez assise sur des carreaux à la mode d’Espagne ; vous aviez une robe de satin vert avec des broderies d’or et d’argent ; des manches pendantes et renouées sur vos beaux bras, sur ces bras admirables, avec de gros diamants ; vous aviez une fraise fermée, un petit bonnet sur votre tête, de la couleur de votre robe, et sur ce bonnet une plume de héron. Oh ! tenez, tenez, je ferme les yeux, et je vous vois telle que vous étiez alors ; je les rouvre et je vous vois telle que vous êtes maintenant, c’est-à-dire cent fois plus belle encore ! |
The Three Musketeers, by Alexandre Dumas | Les Trois Mousquetaires, de Alexandre Dumas |
As perhaps our readers are not familiar with the slang of the Rue de Jerusalem, and as it is fifteen years since we applied this word for the first time to this thing, allow us to explain to them what is a mousetrap. | Comme peut-être nos lecteurs ne sont pas familiarisés encore avec l’argot de la rue de Jérusalem, et que c’est depuis que nous écrivons, et il y a quelque quinze ans de cela, la première fois que nous employons ce mot appliqué à cette chose, expliquons-leur ce que c’est qu’une souricière. |
The Three Musketeers, by Alexandre Dumas | Les Trois Mousquetaires, de Alexandre Dumas |
Not a window in the house was lighted up, and when I rang no one answered the bell. It was the first time that such a thing had occurred to me. At last the gardener came. I entered. Nanine met me with a light. I went to Marguerite’s room. | Pas une fenêtre de la maison n'était éclairée, et je sonnai sans que l'on me répondît. C'était la première fois que pareille chose m'arrivait. Enfin le jardinier parut. J'entrai. Nanine me rejoignit avec une lumière. J'arrivai à la chambre de Marguerite. |
The Lady with the Camellias, by Alexandre Dumas son | La Dame aux Camélias, de Alexandre Dumas fils |
Marguerite was a woman in the same position as Olympe, and yet I should never have dared say to her the first time I met her what I had said to the other woman. I loved Marguerite. I saw in her instincts which were lacking in the other, and at the very moment in which I made my bargain, I felt a disgust toward the woman with whom I was making it. | Marguerite était une fille entretenue comme Olympe, et cependant je n'eusse jamais osé lui dire, la première fois que je l'avais vue, ce que je venais de dire à cette femme. C'est que j'aimais Marguerite, c'est que j'avais deviné en elle des instincts qui manquaient à cette autre créature, et qu'au moment même où je proposais ce marché, malgré son extrême beauté, celle avec qui j'allais le conclure me dégoûtait. |
The Lady with the Camellias, by Alexandre Dumas son | La Dame aux Camélias, de Alexandre Dumas fils |
However little one may have known women like Marguerite, one can not but know the delight they take in pretending to be witty and in teasing the people whom they meet for the first time. It is no doubt a return for the humiliations which they often have to submit to on the part of those whom they see every day. | Pour peu que l'on ait vécu avec les filles du genre de Marguerite, on sait le plaisir qu'elles prennent à faire de l'esprit à faux et à taquiner les gens qu'elles voient pour la première fois. C'est sans doute une revanche des humiliations qu'elles sont souvent forcées de subir de la part de ceux qu'elles voient tous les jours. |
The Lady with the Camellias, by Alexandre Dumas son | La Dame aux Camélias, de Alexandre Dumas fils |
The first time I ever saw her was in the Place de la Bourse, outside Susse’s; an open carriage was stationed there, and a woman dressed in white got down from it. A murmur of admiration greeted her as she entered the shop. As for me, I was rivetted to the spot from the moment she went in till the moment when she came out again. I could see her through the shop windows selecting what she had come to buy. I might have gone in, but I dared not. I did not know who she was, and I was afraid lest she should guess why I had come in and be offended. Nevertheless, I did not think I should ever see her again. | La première fois que je l'avais vue, c'était place de la Bourse, à la porte de Susse. Une calèche découverte y stationnait, et une femme vêtue de blanc en était descendue. Un murmure d'admiration avait accueilli son entrée dans le magasin. Quant à moi, je restai cloué à ma place, depuis le moment où elle entra jusqu'au moment où elle sortit. À travers les vitres, je la regardai choisir dans la boutique ce qu'elle venait y acheter. J'aurais pu entrer, mais je n'osais. Je ne savais quelle était cette femme, et je craignais qu'elle ne devinât la cause de mon entrée dans le magasin et ne s'en offensât. Cependant je ne me croyais pas appelé à la revoir. |
The Lady with the Camellias, by Alexandre Dumas son | La Dame aux Camélias, de Alexandre Dumas fils |
When I returned home (he continued, without needing to pause and recollect himself, so fresh were all the details in his mind), I did not go to bed, but began to reflect over the day’s adventure. The meeting, the introduction, the promise of Marguerite, had followed one another so rapidly, and so unexpectedly, that there were moments when it seemed to me I had been dreaming. Nevertheless, it was not the first time that a girl like Marguerite had promised herself to a man on the morrow of the day on which he had asked for the promise. | —Quand je rentrai chez moi, reprit-il, sans avoir besoin de se recueillir, tant tous ces détails étaient encore présents à sa pensée, je ne me couchai pas; je me mis à réfléchir sur l'aventure de la journée. La rencontre, la présentation, l'engagement de Marguerite vis-à-vis de moi, tout avait été si rapide, si inespéré, qu'il y avait des moments où je croyais avoir rêvé. Cependant ce n'était pas la première fois qu'une fille comme Marguerite se promettait à un homme pour le lendemain du jour où il le lui demandait. |
The Lady with the Camellias, by Alexandre Dumas son | La Dame aux Camélias, de Alexandre Dumas fils |
As soon as Silver disappeared, the captain, who had been closely watching him, turned toward the interior of the house, and found not a man of us at his post but Gray. It was the first time we had ever seen him angry. | Dès que Silver eut disparu, le capitaine, qui n’avait cessé de le surveiller, se retourna vers l’intérieur de la maison et constata que, sauf Gray, personne n’était à son poste. Ce fut la première fois que nous le vîmes réellement en colère. |
Treasure Island, by Robert Louis Stevenson | L’Île au trésor, de Robert Louis Stevenson |
It was, then, into the midst of this tumult and disorder that our young man advanced with a beating heat, ranging his long rapier up his lanky leg, and keeping one hand on the edge of his cap, with that half-smile of the embarrassed a provincial who wishes to put on a good face. When he had passed one group he began to breathe more freely; but he could not help observing that they turned round to look at him, and for the first time in his life d'Artagnan, who had till that day entertained a very good opinion of himself, felt ridiculous. | Ce fut donc au milieu de cette cohue et de ce désordre que notre jeune homme s’avança le cœur palpitant, rangeant sa longue rapière le long de ses jambes maigres et tenant une main au rebord de son feutre avec ce demi-sourire du provincial embarrassé qui veut faire bonne contenance. Avait-il dépassé un groupe, alors il respirait plus librement ; mais il comprenait qu’on se retournait pour le regarder, et, pour la première fois de sa vie, d’Artagnan, qui, jusqu’à ce jour, avait eu une assez bonne opinion de lui-même, se trouva ridicule. |
The Three Musketeers, by Alexandre Dumas | Les Trois Mousquetaires, de Alexandre Dumas |
It was not the first time that she had spoken to us of her husband's trouble, to me as a doctor, to my wife as an old friend and school companion. We soothed and comforted her by such words as we could find. Did she know where her husband was? Was it possible that we could bring him back to her? | Ce n’était pas la première fois qu’elle nous parlait de l’infirmité de son mari, à moi comme docteur, à ma femme comme à une vieille amie de pension. Nous fîmes tous nos efforts pour la calmer et la réconforter, tout en la questionnant sur l’endroit où pouvait se trouver son mari et la possibilité de le ramener au logis. |
The Adventures of Sherlock Holmes, by Arthur Conan Doyle | Les Aventures de Sherlock Holmes, de Arthur Conan Doyle |
"Was yesterday the first time you have spoken hose two sentences to any one?" | — C’est bien hier que, pour la première fois, vous avez parlé de ces deux citations ? |
The Extraordinary Adventures of Arsene Lupin, Gentleman Burglar, by Maurice Leblanc | Arsène Lupin gentleman-cambrioleur, de Maurice Leblanc |
I now felt for the first time the joy of exploration. The isle was uninhabited; my shipmates I had left behind, and nothing lived in front of me but dumb brutes and fowls. I turned hither and thither among the trees. Here and there were flowering plants, unknown to me; here and there I saw snakes, and one raised his head from a ledge of rock and hissed at me with a noise not unlike the spinning of a top. Little did I suppose that he was a deadly enemy, and that the noise was the famous rattle. | Je connus alors pour la première fois les joies de l’explorateur. L’île était inhabitée ; mes compagnons, je les avais laissés en arrière, et rien ne vivait devant moi que des bêtes. Je rôdais au hasard parmi les arbres. Çà et là fleurissaient des plantes inconnues de moi ; çà et là je vis des serpents, dont l’un darda la tête hors d’une crevasse de rocher, en sifflant avec un bruit assez analogue au ronflement d’une toupie. Je ne me doutais guère que j’avais là devant moi un ennemi mortel, et que ce bruit était celui de la fameuse « sonnette ». |
Treasure Island, by Robert Louis Stevenson | L’Île au trésor, de Robert Louis Stevenson |
The first time he saw d'Artagnan, "You have come off well," said he to him; "there is your Jussac thrust paid for. There still remains that of Bernajoux, but you must not be too confident." | Puis, la première fois qu’il revit d’Artagnan : — Vous l’échappez belle, lui dit-il ; voilà votre coup d’épée à Jussac payé. Reste bien encore celui de Bernajoux, mais il ne faudrait pas trop vous y fier. |
The Three Musketeers, by Alexandre Dumas | Les Trois Mousquetaires, de Alexandre Dumas |
"It is the first time, then, that you ever went to that house?" | — C’est donc la première fois que vous venez à cette maison ? |
The Three Musketeers, by Alexandre Dumas | Les Trois Mousquetaires, de Alexandre Dumas |
"This is the first time I ever heard his name pronounced." | — C’est la première fois que j’entends prononcer ce nom. |
The Three Musketeers, by Alexandre Dumas | Les Trois Mousquetaires, de Alexandre Dumas |
“That, and a deal more. I tell you, Watson, I’ve only known her these few weeks, but from the first I just felt that she was made for me, and she, too—she was happy when she was with me, and that I’ll swear. There’s a light in a woman’s eyes that speaks louder than words. But he has never let us get together, and it was only to-day for the first time that I saw a chance of having a few words with her alone. She was glad to meet me, but when she did it was not love that she would talk about, and she wouldn’t have let me talk about it either if she could have stopped it. She kept coming back to it that this was a place of danger, and that she would never be happy until I had left it. I told her that since I had seen her I was in no hurry to leave it, and that if she really wanted me to go the only way to work it was for her to arrange to go with me. With that I offered in as many words to marry her, but before she could answer down came this brother of hers, running at us with a face on him like a madman. He was just white with rage, and those light eyes of his were blazing with fury. What was I doing with the lady? How dared I offer her attentions which were distasteful to her? Did I think that because I was a baronet I could do what I liked? If he had not been her brother I should have known better how to answer him. As it was I told him that my feelings towards his sister were such as I was not ashamed of, and that I hoped that she might honour me by becoming my wife. That seemed to make the matter no better, so then I lost my temper too, and I answered him rather more hotly than I should, perhaps, considering that she was standing by. So it ended by his going off with her, as you saw, and here am I as badly puzzled a man as any in this county. Just tell me what it all means, Watson, and I’ll owe you more than ever I can hope to pay.” | « — Si, et bien plus encore. Écoutez, Watson… Je ne connais miss Stapleton que depuis quelques semaines, mais, le jour où je l’ai rencontrée pour la première fois, j’ai senti que Dieu l’avait faite pour moi — et elle pareillement. Elle était heureuse de se trouver près de moi, je le jurerais ! Il passe dans les yeux des femmes des lueurs qui sont plus éloquentes que des paroles… Son frère ne nous permettait pas de rester seuls ensemble et, aujourd’hui seulement, j’ai saisi l’occasion de causer avec elle sans témoins. « Notre rencontre l’a comblée de joie… mais ce n’était pas d’amour qu’elle désirait m’entretenir, et, si elle avait pu m’en empêcher, elle n’aurait pas souffert que je lui en eusse parlé. « Elle a commencé à insister sur le danger que je cours ici et sur l’inquiétude dans laquelle elle vivrait, si je ne quittais pas Baskerville. « Je lui ai répondu que, depuis que je la connaissais, je n’étais plus pressé de partir et que, si réellement elle souhaitait mon départ, le meilleur moyen d’en venir à ses fins était de s’arranger pour m’accompagner. « Je lui proposai de l’épouser, mais, avant qu’elle eût pu me répondre, son espèce de frère arrivait sur nous avec des façons d’énergumène. Ses joues blêmissaient de rage et, dans ses yeux, de sinistres éclairs de folie s’allumaient. « Que faisais-je avec madame ?… Comment avais-je l’audace de lui rendre des hommages qui lui étaient odieux ?… Mon titre de baronnet autorisait-il donc une conduite aussi cavalière ? « Si Stapleton n’avait pas été le frère de Béryl, j’aurais mieux su que lui répondre. En tout cas, je lui ai dit quels sentiments m’inspirait sa sœur et que j’espérais qu’elle me ferait l’honneur de devenir ma femme. « Au lieu de se calmer, ce discours l’irrita encore davantage. À mon tour, je m’emportai et je ripostai un peu plus aigrement que je ne l’aurais dû, Béryl étant présente à notre altercation. « Leur départ précipité a terminé cette scène pénible et vous voyez en moi l’homme le plus bouleversé de tout le comté. » |
The Hound of the Baskervilles, by Arthur Conan Doyle | Le Chien des Baskerville, de Arthur Conan Doyle |
"It's not the first time, either," said the policeman, severely, shaking his head. "You were in trouble last month for the same thing. You've blackened this young man's eye. Do you give him in charge, sir?" | — Ce n’est pas la première fois que pareille chose lui arrive ! Sévère, le policeman hocha la tête, et s’adressant à Challenger : — Vous avez eu déjà le mois dernier une histoire semblable. Et vous venez de pocher l’œil à ce jeune homme. Puis, revenant à moi : — Faut-il que je l’arrête ? |
The Lost World, by Arthur Conan Doyle | Le Monde perdu, de Arthur Conan Doyle |
To confide in his servants was a proceeding repugnant to his nature; but now, for the first time in many years, he experienced the necessity of seeking counsel with some one. Abandoned by the legal official of his own district, and feeling unable to defend himself with his own resources, he was on the point of going to Paris to engage the services of a detective. | Soupçonneux et taciturne, il n’avait pas osé se confier à ses domestiques, dont le dévouement ne lui paraissait pas à l’abri de toute épreuve. Cependant, pour la première fois depuis des années, il éprouvait le besoin de parler, de prendre conseil. Abandonné par la justice de son pays, il n’espérait plus se défendre avec ses propres ressources, et il fut sur le point d’aller jusqu’à Paris et d’implorer l’assistance de quelque ancien policier. |
The Extraordinary Adventures of Arsene Lupin, Gentleman Burglar, by Maurice Leblanc | Arsène Lupin gentleman-cambrioleur, de Maurice Leblanc |
As Challenger spoke of his pterodactyl I glanced at Professor Summerlee, and for the first time I seemed to see some signs of a dawning credulity and repentance. There was no sneer upon his thin lips, but, on the contrary, a grey, drawn look of excitement and amazement. Challenger saw it, too, and revelled in the first taste of victory. | Au moment où Challenger nommait le ptérodactyle, je regardai Summerlee. Pour la première fois, son scepticisme me parut tout près de faire amende honorable. Nul ricanement ne tirait le fil de ses lèvres ; mais il avait un air contraint, intéressé, surpris. Challenger s’en aperçut comme moi, et savourant l’avant-goût de la victoire : |
The Lost World, by Arthur Conan Doyle | Le Monde perdu, de Arthur Conan Doyle |
You will realize as you read it, my dear Mr. McArdle, and possibly for the first time that the paper has not sent me on a wild-goose chase, and that there is inconceivably fine copy waiting for the world whenever we have the Professor's leave to make use of it. I shall not dare to publish these articles unless I can bring back my proofs to England, or I shall be hailed as the journalistic Munchausen of all time. I have no doubt that you feel the same way yourself, and that you would not care to stake the whole credit of the Gazette upon this adventure until we can meet the chorus of criticism and scepticism which such articles must of necessity elicit. So this wonderful incident, which would make such a headline for the old paper, must still wait its turn in the editorial drawer. | En lisant ceci, mon cher monsieur Mc Ardle, vous vous rendrez compte, peut-être pour la première fois, que je n’ai pas embarqué le journal dans une folle entreprise, et que nous pouvons nous promettre quelques numéros sensationnels pour le jour où le professeur voudra bien autoriser la publication de ces articles. Je ne me risquerais d’ailleurs pas à les publier, par crainte qu’on me prît pour le plus éhonté bluffeur qui ait jamais sévi dans le journalisme, si d’abord je ne rapportais mes preuves en Angleterre. Je suis sûr qu’à cet égard vous partagez mon sentiment et que vous n’engageriez pas le crédit de la Gazette sans avoir de quoi résister à l’inévitable assaut de la critique et de la blague. En sorte que l’extraordinaire incident auquel j’arrive, et qui vous fournirait une si belle manchette, ira tranquillement attendre dans vos cartons l’heure de la publication. |
The Lost World, by Arthur Conan Doyle | Le Monde perdu, de Arthur Conan Doyle |